Exercise and ADHD

tdah

Il y en a qui croient que des exercices stimulant l’attention peuvent rivaliser ou du moins complémenter le rôle des médicaments lorsque l’on veut améliorer le sort des sujets souffrant du TDAH. C’est entre autres avec l’utilisation de jeux vidéo que l’on peut penser obtenir des résultats qui vont dans ce sens.

Une étude récente a été publiée dans le journal médical Pediatrics et stipule que les enfants qui participent à un programme d’exercices physiques régulièrement démontraient des gains au niveau de la performance cognitive et de la fonction cérébrale. Ce qui est vraiment excitant ici, c’est que l’on parle d’un lien de cause à effet et non pas d’une simple association.

Plus spécifiquement, on parle ici de gains au niveau des fonctions exécutives dont la capacité de résister aux distractions et de maintenir son attention sur une tâche. Aussi, on a vu des changements positifs en ce qui a trait è la mémoire de travail et la flexibilité cognitive.

Et que dire de John Ratey ! Il est professeur de psychiatrie à Harvard et il suggère que les gens devraient considérer l’exercice comme médicamentation pour le TDAH. Il stipule que même l’exercice léger amène le cerveau à produire de la dopamine et de la sérotonine, tout comme l’Adderall, par exemple, prescrite pour le TDAH.

Alors si bouger c’est bien, qu’en est-il de bouger dans le contexte d’un système sensori-moteur aiguisé et d’un corps équilibré d’un point de vue mécanique ? Serait-ce possible que l’alignement des segments osseux contribue à une amélioration du rendement proprioceptif qui, à son tour, via le cervelet, active le cortex frontal, le siège de l’apprentissage et du comportement approprié ?

Et que dire de John Ratey ! Il est professeur de psychiatrie à Harvard et il suggère que les gens devraient considérer l’exercice comme médicamentation pour le TDAH. Il stipule que même l’exercice léger amène le cerveau à produire de la dopamine et de la sérotonine, tout comme l’Adderall, par exemple, prescrite pour le TDAH.

Alors si bouger c’est bien, qu’en est-il de bouger dans le contexte d’un système sensori-moteur aiguisé et d’un corps équilibré d’un point de vue mécanique ? Serait-ce possible que l’alignement des segments osseux contribue à une amélioration du rendement proprioceptif qui, à son tour, via le cervelet, active le cortex frontal, le siège de l’apprentissage et du comportement approprié ?